Ecoland

Ce blog est destiné à informer tout un chacun sur les problèmes écologiques les plus divers.

mardi 10 février 2015

Près de 19.000 hippocampes déshydratés saisis dans un aéroport parisien !


Un stock de 19.000 hippocampes, espèce protégée par la convention de Washington sur les espèces menacées de disparition, ont été saisis jeudi à l'aéroport parisien de Roissy, ont annoncé lundi les douanes.


Les animaux, transportés à l'état déshydraté, ont été découverts dans un envoi commercial en provenance de Madagascar et à destination de Hong Kong, a précisé la direction des douanes à l'AFP. Leur valeur est estimée à près de 200.000 euros.


Quelques jours plus tôt, le 15 janvier, ce sont les services douaniers en charge du contrôle des voyageurs qui avaient intercepté 112 hippocampes morts dans les bagages d'un couple arrivant de Shanghai, précisent les douaniers.
D'après leurs déclarations, les hippocampes devaient être utilisés pour réaliser des bouillons pour bébé. Les animaux ont été saisis et les deux personnes en cause se sont vues infliger une forte amende douanière.


Les hippocampes sont protégés par la Convention de Washington relative au Commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), du fait de la destruction de leur habitat et de prélèvements importants sur l'espèce.
Ils sont notamment utilisés dans la médecine traditionnelle chinoise, qui leur prête des vertus thérapeutiques et aphrodisiaques, ou bien séchés pour être vendus aux touristes.

La saisie de jeudi est la plus importante de ce genre, à Roissy, depuis 2005, lorsque 35.000 hippocampes avaient été découverts, provenant de Conakry (Guinée) et à destination de la Chine.
09/02/2015 16:39:17 - Paris (AFP) - © 2015 AFP

vendredi 6 février 2015

Des aliens dans le métro de New-York!

Scientists and volunteers started the project in 2013 and found 637 known bacterial, viral, fungal and animal species when swabbing the spaces between commuters and street musicians and logging the data in real time with a mobile app.

Most of the bacteria the group found were harmless, though nearly half (48 per cent) of the DNA found matched no known organisms, according to the published study at Cell.com.